En dix ans, Urbasolar s’est imposée comme un acteur de référence sur le marché effervescent du photovoltaïque. Unique «pure player» indépendant, elle est aussi l’une des entreprises les plus innovantes du secteur. Sa maîtrise en matière de stockage de l’énergie et d’intégration du photovoltaïque aux réseaux électriques lui a valu d’emporter en juin dernier un tiers des projets lauréats à l’issue de l’appel d’offres sur le photovoltaïque dans les zones non interconnectées (DOM).
Urbasolar, créée en 2006 par Stéphanie Andrieu et Arnaud Mine, fêtera au mois d’octobre son dixième anniversaire en inaugurant un nouveau siège social dans le parc du Millénaire, à Montpellier. Née au sein de la pépinière Cap Omega, l’entreprise a déjà dû déménager trois fois pour adapter ses locaux à l’essor de son activité. Avec plus de 100 salariés à Montpellier, elle a réalisé en 2015-2016 un chiffre d’affaires de 66 millions d’euros (+ 25 %) et prévoit de franchir le cap des 100 millions en 2018.
Seul indépendant français à opérer sur le seul créneau du photovoltaïque, Urbasolar se distingue aussi par sa capacité d’innovation. «L’avenir de notre métier passe par la maîtrise du stockage de l’électricité, de l’hybridation (association avec d’autres systèmes de production) et de l’interfaçage avec les réseaux électriques, souligne Stéphanie Andrieu, directrice générale. Cela exige énormément d’ingénierie. Nous sommes très ”French Tech“». Cette expertise a valu à Urbasolar de capter 11 projets sur 33 à l’issue d’un récent appel d’offres du ministère de l’Ecologie sur les installations photovoltaïques avec stockage. Urbasolar est aussi l’entreprise qui a emporté le plus grand nombre de projets à l’issue des trois appels d’offres de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Elle dispose ainsi d’un portefeuille de 80 MW (emportés au dernier appel d’offres CRE 3) auxquels s’ajoutent 500 MW de projets en développement en France et à l’international. L’entreprise gère aujourd’hui un parc de 200 MW, représentant 450 centrales.
Présente dans cinq pays, Urbasolar dispose également d’agences à Toulouse et Aix-en-Provence. Mais le siège reste solidement ancré à Montpellier. «Notre activité étant fortement concentrée sur l’arc Méditerranéen, Montpellier constitue pour nous un emplacement stratégique, précise Stéphanie Andrieu. Et puis c’est une ville qui bouge et qui bénéficie d’une image très positive. Nous y trouvons tout ce dont nous avons besoin».
En savoir plus :
- Urbasolar- Intégrer les réseaux énergie environnement
Seul indépendant français à opérer sur le seul créneau du photovoltaïque, Urbasolar se distingue aussi par sa capacité d’innovation. «L’avenir de notre métier passe par la maîtrise du stockage de l’électricité, de l’hybridation (association avec d’autres systèmes de production) et de l’interfaçage avec les réseaux électriques, souligne Stéphanie Andrieu, directrice générale. Cela exige énormément d’ingénierie. Nous sommes très ”French Tech“». Cette expertise a valu à Urbasolar de capter 11 projets sur 33 à l’issue d’un récent appel d’offres du ministère de l’Ecologie sur les installations photovoltaïques avec stockage. Urbasolar est aussi l’entreprise qui a emporté le plus grand nombre de projets à l’issue des trois appels d’offres de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Elle dispose ainsi d’un portefeuille de 80 MW (emportés au dernier appel d’offres CRE 3) auxquels s’ajoutent 500 MW de projets en développement en France et à l’international. L’entreprise gère aujourd’hui un parc de 200 MW, représentant 450 centrales.
Présente dans cinq pays, Urbasolar dispose également d’agences à Toulouse et Aix-en-Provence. Mais le siège reste solidement ancré à Montpellier. «Notre activité étant fortement concentrée sur l’arc Méditerranéen, Montpellier constitue pour nous un emplacement stratégique, précise Stéphanie Andrieu. Et puis c’est une ville qui bouge et qui bénéficie d’une image très positive. Nous y trouvons tout ce dont nous avons besoin».
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