Le groupe
Inovie est né en 2010 de la volonté de médecins et de pharmaciens biologistes indépendants d’unir leur savoir-faire pour toujours mieux accompagner les patients dans leur parcours de soins.
Fort de son développement, le groupe
Inovie accentue sa présence dans la métropole de Montpellier et implante son siège social dans le parc d’activité de Garosud. Le groupe crée en lieu et place de ses deux plateaux techniques actuels (Saint-Aunès et Montpellier), un plateau technique 7/7 et 24/24, ainsi que le centre logistique qui desservira les laboratoires héraultais et gardois de
Labosud. Investissement : 12 M€.
Le site accueillera, au total, entre 180 et 200 personnes. Les premières équipes, celles d’Inovie Vet, venues de Saint-Aunès, se sont installées en janvier 2020. Les autres suivront au fur et à mesure.
« Au départ, nous cherchions 3 500 m2 de surface de plancher. Mais, face à la croissance de notre groupe, nous avons opté pour 6 500 m2 avec la possibilité de s’étendre », indique Yann Olejnik, le pharmacien biologiste, associé de Labosud, en charge du plateau technique et chef de projet de cette construction.
Rapidement, le groupe
Inovie a choisi le parc d’activité de Garosud qui répondait à l’ensemble des besoins du groupe : la possibilité d’avoir une surface extensible à proximité de l’autoroute et des cliniques partenaires de Labosud. L’ancienne emprise du Mas Tandon a ainsi été réinvestie par le groupe permettant de conserver quelques parties viables, de valoriser le bois classé et de préserver la partie bureaux de la partie activité hébergée dans un bâtiment distinct.
L’ensemble de l’opération a été accompagnée par le service Implantation des Entreprises de Montpellier Méditerranée Métropole.
« Nous avons bien été épaulés par les équipes de la Métropole et de la SERM, et toutes nos questions spécifiques ont trouvé des réponses adaptées », salue Yann Olejnik.
Le défi était de taille, en raison de la crise sanitaire. Engagé en juin 2019, le chantier a d’abord connu un coup d’arrêt en mars, au moment du premier confinement. Puis, il a fallu rééchelonner le calendrier, en sectorisant les travaux pour que les entreprises ne se croisent pas et respectent les distanciations mises en place.
« Ce fut un très gros challenge. Mais, tout le monde était motivé, les architectes comme les entreprises », conclut Yann Olejnik.
