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Seclab boostée par le Pass French Tech

Information mise à jour le 20/06/18
Les solutions de la société de cybersécurité Seclab, fondée en 2011 à Montpellier, protègent les infrastructures critiques des organismes publics et des entreprises contre les pirates. Le Pass French Tech obtenu en novembre 2015 a ouvert de nombreuses portes à l’entreprise, en France comme à l’international.
«Le Pass French Tech est très sélectif, mais il donne une grande visibilité en France et à l’étranger, et ouvre l’accès à un guichet unique de services. C’est une voie royale», s’enthousiasme Xavier Facélina, président de la société de cybersécurité Seclab. Depuis 2011, Seclab a développé une gamme de solutions protégeant les infrastructures critiques (tels les réseaux électriques et gaziers, de transport, de traitement de l’eau, l’industrie, les services financiers...) contre les attaques des cyber-pirates. Lauréate du Pass French Tech en novembre 2015, la jeune entreprise fait partie des 16 sociétés du territoire montpelliérain à avoir obtenu ce précieux label, réservé aux entreprises en hyper-croissance, dont 3 renouvelées.
«J’ai pu présenter tous nos souhaits à la chargée de mission Pass French Tech de Montpellier Méditerranée Métropole, c’était ma liste au Père Noël, sourit Xavier Facélina. J’avais indiqué que nous cherchions à travailler en Allemagne. Elle m’a prévenu que l’ambassade de France organisait une rencontre à Berlin avec des startups, et Seclab y a participé.» Seclab a intégré le réseau Bpifrance Excellence. «Nous venons d’entrer dans le programme d’accélération Hub40 de Bpifrance et cela a déjà amené un rendez-vous qualifié. Le Pass French Tech nous a même apporté du chiffre d’affaires. Il a accéléré le référencement de nos produits par l’UGAP (Union des groupements d’achats publics). C'est un dispositif qui marche très bien, nous souhaiterions le renouveler.» 
Seclab, qui mise toujours sur la croissance, pourrait faire passer son effectif de 15 à 20 salariés d’ici six mois. Xavier Facélina veut lever des fonds pour accompagner le développement, notamment international (Seclab a un bureau depuis 2012 dans la Silicon Valley). L’entreprise a levé 1 million d’euros en juin 2016 et travaille à un nouveau tour de table de 2,5 à 3 millions d’euros.

 
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